Révélation choc sur les œstrogènes: Découvrez ce qui m’a totalement bouleversée !

par adm
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Ce que j’ai découvert sur les œstrogènes m’a bouleversée !

Les œstrogènes, souvent négligés dans l’étude de plusieurs types de cancer, viennent d’être au cœur d’une percée significative. Des scientifiques en France ont démontré leur implication dans l’exacerbation de cancers considérés auparavant comme non hormono-dépendants. Cette découverte pourrait transformer notre compréhension des métastases et proposer de nouvelles approches de traitement.

Redefinition des principes médicaux établis

Jusqu’à récemment, certains cancers tels que ceux du sein, de la prostate ou de l’endomètre étaient classés comme hormono-dépendants, représentant environ 20 % des cas mondiaux. Cependant, des études épidémiologiques avaient déjà suggéré des anomalies, telles que l’augmentation de la prévalence de certains cancers chez les jeunes femmes en pleine activité hormonale. Ces observations ont poussé une équipe de l’Institut Curie, en collaboration avec l’Inserm et le CNRS, à investiguer plus en détail.

Révélation d’un mécanisme pro-métastatique jusqu’alors inconnu

Leur recherche, publiée dans la revue Nature, a exposé une « boucle de signalisation » précédemment inexplorée. Cette boucle active le récepteur ESR1 (aux œstrogènes), qui à son tour stimule le GRPR (Gastrin-Releasing Peptide Receptor), activant ainsi la voie YAP1. Ce processus inhibe la production d’E-cadhérine (ECAD), une molécule essentielle à la prévention de la propagation des cellules cancéreuses. Cette séquence hormonale encourage non seulement la croissance des tumeurs mais également la migration des cellules et la résistance à l’anoïkis, un type de mort cellulaire qui joue normalement un rôle protecteur.

Exploration de nouvelles avenues thérapeutiques

Cette découverte transcende la simple biologie moléculaire. En utilisant des antagonistes spécifiques pour cibler GRPR, les chercheurs ont constaté une diminution notable des métastases dans des modèles expérimentaux. Ces récepteurs, jusqu’ici peu utilisés en oncologie, pourraient se révéler des cibles privilégiées, en particulier dans des thérapies combinées anti-œstrogéniques. Cette avancée pourrait profiter spécialement à des patientes souffrant de mélanome, de cancer de la thyroïde ou de l’estomac. « Comprendre l’impact du sexe et de l’âge sur le développement de certains cancers est crucial pour avancer vers une médecine plus précise », affirme le Dr Lionel Larue, directeur de recherche à l’Inserm.

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